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Nous avons commencé les routes "touristiques"par la route 17,
qui est une route maritime débutant par un pont suspendu
et donnant de belles vues.
De beaux reflets,
y compris du véhicule.
Elle nous a mené à Trondheim; parqués au centre ville
pour 3h et 17 €, on fait un petit tour de la vieille cité : la cathédrale,
un peu massive, mais la plus au nord d’Europe,
la rue Norgata.
Et bien sûr, on a parcouru le vieux pont
d'où l'on admire les vieilles maisons, images classiques de Trondheim
.
Remarque : nous n’avons jamais vu autant de Teslas qu’en Norvège :
Berline, coupé et même décapotable
les deux extrêmes: Tesla privée ou trottinette collective
Avant de rejoindre « la route de l’atlantique », on a commencé
une ballade vers la grotte de « trollkirka », le sentier commence à
travers la forêt, où on a trouvé du muguet (un peu tardif pour la tradition)
un abri bus végétalisé, et le muguet du 20 juin...
. On s’est arrêté à mi parcours pour profiter de la vue, mais on a abandonné
la suite étant trop raide et caillouteuse
Au début de la route de l’atlantique une affiche vante un point d’observation:
c’est une plate forme béton de 2m sur 3 avec un parapet en verre.
Celui-ci ne sert à rien sauf protéger du vent
un enfant de moins d’un mètre qui voudrait regarder la mer;
Plusieurs km A/R pour voir ça...
Le vitrier du coin a dû soudoyer les autorités pour construire ce truc
ridicule que les guides recommandent.
Puis nous parcourront cette route de quelques km rejoignant les îles
par des ponts successifs. L’un d’eux ressemble à un tremplin de ski
sous certains angles
A partir de demain, nous attaqueront les routes dites "des trolls"
et "des aigles";
Ce soir bivouac au bord d'un fjord
.
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Nous avons parcouru quelques routes sur l’île de Senja.
sous un temps maussade
Nous sommes allé jusqu’à Husoy, petite cité sympa, mais qui
n’est pas la « perle » que disent certains guides.
Le paysage alentour vaut mieux que la ville
Vue depuis Husoi et bac pour les Vesteralen
Encore un bac pour atteindre les îles Vesteralen
Le passage est marqué 69€ pour un camping car de
moins de 6 m; les passagers des véhicules ne payent pas
.
On arrive à Andenes,
La plage d'Andenes
puis on s’arrête au niveau de Bleik.
Plage de Bleik
Le sable blanc et les eaux turquoises sont bien là; s'y ajoute une odeur
désagréable d'algues décomposées que le Michelin ne cite pas
La route suit la côte et on rejoint Nyksund, tout à la pointe ;
village de Nyksund et vue depuis le port
A Melbu, un nouveau bac pour atteindre les Lofoten.
Melbu, de jolies maisons
Bien que la mer soit d’huile, les bacs ont un roulis important,
Cela est du à des courants violents entre les îles
Nous descendons la E10 pour parcourir les Lofoten. Les bivouacs sont
un peu moins faciles, car on trouve des interdictions: normal devant
la déferlante des camping cars; beaucoup d'étrangers, mais aussi des
norvégiens (le nombre de camping-cars pour 100 habitants doit être plus
élevé qu'en France si l'on en croit ceux qu'on voit garés devant les maisons)
Toujours de belles vues sur mer
Le temps est maussade et froid le matin, avec des nuages bas
(les sommets au delà de 400m sont dans la brume). L’après midi
le ciel s’éclaircit, et on finit les Lofoten sous le soleil. Le point positif
est que les moustiques ne sont pas réveillés (on les comprend…)
Henningvaer est un petit port qui vaut le détour
Sur la route, des séchoirs à Cabillauds qui deviendront morue.
... et ça sent la morue...
Le sud des Lofoten est la plus belle région;
Maison de pêcheur de Vikten, transformée en gîte
Même chose à Reine, une rénovation réussie
Le village de " A " tout à la pointe
Encore un Ferry et on se retrouve sur le « continent »
Le tracé du circuit des îles
Au final, Senja ne nous laisse pas un souvenir inoubliable mais la "descente"
des Lofoten est superbe
La route côtière longe des glaciers.
Le dernier Ferry nous fait repasser le cercle polaire.
Petit monument sur la berge
rappelant le cercle polaire
On donnera des indications sur la nourriture qu’on trouve
dans les super marchés dans un prochain article, en attendant
la « vache qui rit » a parfois une « tête au carré »
.
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Nous avons continué vers le Nord: à la ville de Sodenkyla
se trouve la plus vieille église en bois de Finlande.
Le nord du pays est une région de forêts, de lacs et de
cascades.
Et bien sûr des rennes, sauvages ou domestiques, on ne sait pas.
Depuis le passage du cercle polaire, il n’y a plus de nuit.
Puis nous sommes arrivés au Cap nord, zone mythique…
C’est un très bel endroit, même s’il existe d’autres caps sauvages.
A noter que l’on ne sait pas encore combien on paye de péage
pour les tunnels puisque tout est informatisé, la plaque photographiée
(on n’a rien vu du genre radar) ; on doit être prélevé sur notre carte
qu’on avait renseignée en ligne.
Le parking du cap est gratuit ( depuis quand?): donc on n’y est pas seuls ;
entre 200 et 300 camping cars ; (entre autres, les groupes Thellier et
Cap latitude ) mais il y a de la place, et on n’est pas de ces touristes
qui voudraient visiter des endroits touristiques sans touristes.
L’entrée du bâtiment blockhaus est payante et donne droit à
Une expo, un film en écran panoramique, etc…
Beaucoup doivent y apprécier le local chauffé, car dehors ça caille.
On n’a pas pu voir le soleil de minuit (qui, compte
tenu de l’heure d’été a lieu à 2h) à cause des nuages
mais depuis le cercle polaire, il fait jours sans arrêt
Et on s’oriente vers le sud, direction les îles « Lofoten »
Sur la route, des petits ports
et de beaux paysages
Honnisvag est un port où s’arrêtent les bateaux de
l’express côtier.
Nous devons prendre 2 bacs pour rejoindre Tromso
Le premier coûte 17 €, le tarif du second n’est pas
affiché, mais vue la distance, ce doit être équivalent
peu de monde dans l’avant dernier bac du soir
La ville de Tromso mérite la visite
La "cathédrale artique" qui est en fait une église récente
Le musée "Polaria" architecture futuriste
Dans le centre ancien
*On y a découvert un jardin botanique original :Des plantes et fleurs
des régions du nord ou d’altitude. On remarque que les tulipes fleurissent
alors que nous sommes le 11 juin
Nous nous dirigeons vers l' île de Senja par une belle route logeant la mer
.
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On devait rester deux jours à Stockolm, mais le mercredi étant un
jour de soleil, on décide de séjourner un jour de plus ;
Le matin, visite du musée nordique. On s’attendait à voir des objets,
des meubles et vêtements, mais pas du tout.
D’abord, dès l’entrée on est accueilli par une statue du roi Vasa
genre « bibendum » : mauvais signe ; puis on nous propose de
télécharger un audio guide en français gratuit ; en fait, la moitié
des arrêts sont en français, mais l’autre en anglais.
En guise d’objets il y a surtout des tables garnies de jolie vaisselle
que l’audio guide nous détaille longuement.
A part ça et quelques déco traditionnelles de Noël, pas de meubles,
pas de costumes, ni d’objets usuels
Au 3° étage, (expo temporaire) on nous dit qu’il fallait laisser les sacs à dos
et les manteaux au sous-sol, ( recommandation en anglais de la caissière) :
on avait bien compris pour les sacs , mais pas saisi les « jackets »
il faudrait redescendre, ça va comme ça.
Bref ce musée ne vaut pas son droit d’entrée
On a passé le reste de la journée à se promener d’abord près du port,
Puis dans l’île de Södermalm, toujours pour admirer d’anciennes
maisons.
A noter pour les tramways : aux stations, on peut prendre des tickets
seniors à 2,6€ valables 75 minutes, dans les tram et métros ;
mais si vous achetez le passage dans un tram, tout se
passe sur un terminal portable du contrôleur et on n’obtient pas de
ticket papier : il faudra repayer si on prend une correspondance dans
les 75 minutes ; à éviter donc, sauf urgence
On a quitté Stockholm pour remonter vers le nord, et rejoindre le lac
Siljan :
les villages situés autour sont des centres de ski (nordiques)
ou des cités balnéaires touristiques, de belles maisons bien entretenues
souvent hôtels ou gîtes
village de Leksand
Village de Rattvik
Ville de Mora
Puis on rejoint la côte pour deux sites recommandés : Nordingra, où
les mini écuries des pêcheurs sont restées alignées
Signalement du site « un peu kitch »
puis Gammelstad, village « paroissial » où l’on dormait avant d’assister à
l’office du dimanche, les églises étant trop loin de chez soi et la
présence à la messe obligatoire jusqu’en 1850.
2 vues de Gammelstad
Comme conclusion provisoire sur la Suède, on peut dire :
1/ que la vie n’y est pas beaucoup plus chère qu’en France, sauf
le gazole souvent à 2 ,50€, en ces temps particuliers.
2/ qu’il est assez facile d’y bivouaquer et de trouver eau et vidange
sur les grands axes, des toilettes possèdent des locaux de vidange
K7, appelées « latrin »
3/ qu’on y a vu beaucoup de maisons rouges…mais tellement
jolies dans la verdure qu’on ne s’en est pas lassé.
Nous sommes entrés en Finlande : presqu’ aussitôt des rennes
Mais pas facile dans un pays évolué de trouver un garage pour vidanger :
tous les garages sont blindés pour 2 semaines (effet Covid ou proximité
des vacances?) finalement un nouvel établissement nous prend pour le
lendemain à Rovaniemi;
Du coup on va visiter le village du père Noël
où les camping cars peuvent bivouaquer gratuitement.
notre parcours:
.
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Cette deuxième semaine, nous sommes passés en Suède et avons remonté
la côte
Sur le chemin, la jolie ville d’Ystadt
Puis celle de Sirmisham
Après un bivouac chez un couple de membres « servas »,
nous admirons la forteresse de Kalmar
Quelques kilomètres sur l’île d’Oland accessible par un très beau pont
Jadis, elle comportait 2000 moulins
A proximité, la ville de Linkeping a regroupé et remonté des maisons
anciennes pour y faire un village d’artisans
Et nous arrivons à Stockholm, au camping de Bredangs.
Un peu moins luxueux que celui de Copenhague, mais moins cher :
33 € pour deux personnes et un cc, électricité comprise.
Le métro, à 15 minutes de marche, est à côté d’un centre
commercial ; le ticket coûte 2,60€ pour les seniors, et couvre 75 minutes.
On peut se procurer des cartes 24 ou 72 h, mais on ne vend plus les
tickets par 16 comme l’indiquent certains guides
Quelques photos de la vieille ville
La grand-place
Nous avons aussi visité le « Skansen », premier village reconstitué
au monde et qui a donné son nom au phénomène
Bien sûr une visite au musée « Vasa » où un navire qui avait coulé
peu après son lancement il y a 330 ans a été récupéré et restauré
les répliques des sculptures, recolorées comme à l’origine
permet de se faire une idée de l’allure du vaisseau
.
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