3 Avril

Montevideo  (on peut cliquer sur les photos pour les agrandir)

On a attendu le départ en avion dans un airbnb. De même

qu’à Vesoul, toute rue qui se respecte a la motte en

ligne de mire, ici c’est le palacio Salvo, emblème de la ville

 qu’il faut voir ;

 

    Au fond, la silhouette du palacio

A part ça, le logement est au RdC  dans une rue passante :

  un bus toutes  les 3 minutes …

 

             3 bus différents en 1 min 40 sec

mais en plein centre de la vieille ville et pas cher, on ne peut 

pas tout avoir

Visite du musée du Gaucho : une expo sur le maté, boisson

incontournable,

et sur la vie des gauchos, organisée autour des chevaux.

              les ustensiles du maté           portrait de gaucho...

 

Bien sûr les élevages ont été implantées dans des espaces 

« libérés » des indiens, lesquels avaient, au 18° siècle été 

exterminés sur ordre du gouverneur espagnol, tout indien 

de plus de 12 ans  devant  être abattu.

Du coup cet éloge des valeureux pionniers résonne bizarrement

 

Quartier du port ;  les anciennes halles ont été aménagées en  

centre de restauration.

On pourrait penser que le nombre faciliterait la

compétitivité des prix…pas du tout, ils sont plus chers qu’en

ville

Rayonnement de la France : comme aux USA, le pain français

a la cote, mais il faudrait payer un stage au boulanger :

… des progrès restent à faire ;

                          ah!   la  "french baguette"

  Et en plus, c'est même imprimé sur le pain:

                             Puisqu'on vous le dit...

 

Ambassade de France, qui rend hommage à Simone Veil

 

En suivant les rues, toujours de belles façades, (d’autres immeubles

abandonnés demanderaient une sérieuse restauration)

 

En attendant des murs sont cachés par du « street art », 

et parsemés de slogans

 

Dans le parc Rodo, un joli manoir, 

                  façon « belle au bois dormant »

Comme dans beaucoup de villes, une fontaine entourée de cadenas

idée originale au début, mais ça commence à crouler ;

                        N'en jetez plus...!

 

Cette cheminée servait à brûler les ordures de la ville à l’époque

coloniale, la conduite emmenant les égouts.

              Et des vues du quartier début 20°

 

Quelques personnes font un barbecue dans la rue,

Ca nous a donné l’idée de manger une parilla avant de partir

 

mix de viande, saucisse, foie et tripe grillés

 

                   en haut: la parilla,  en bas: habitants du

             quartier du port préparant un "assado"

 

maintenant tout le monde est prêt au départ

                      Alors, c'est pour aujourd'hui ou pour demain?

Ici s’achève  la rubrique : 2° séjour en amsud, Merci à ceux qui 

nous ont suivi, et particulièrement aux rédacteurs

de commentaires.

Projet d'automne: séjour en Crête

29 mars

Montevideo

Derniers jours sur la côte Uruguayenne ;

début d’automne, le temps est

proche de celui de la France à la même saison, et les stations

balnéaires ont un petit côté « Saint Jean de Monts fin septembre »

On n'est pas spécialistes des bivouacs de bord de mer, mais là, il faut 

reconnaître qu’il y a des possibilités sympas hors saison, et en toute sécurité

Ce matin, on a  « empoté » en container, partagé avec le land, (chouchou)

de Murielle et Eric Hannecart. Le conteneur contiendra aussi une moto

On a souscrit une assurance ;

depuis qu’un navire a coulé sur cette ligne, on suppose que le pourcentage

de clients souscrivant l’assurance a augmenté.

                   Les deux véhicules en ligne

Remarque cette assurance ne couvre que la perte totale, pas les chocs ou

autres préjudices, alors soit il arrive intact, soit il coule, mais pas de demi-

mesure.

On a beau faire les braves,

quand on voit les engins de manutention, on

a un peu peur. Pourtant les casses sont rares

                Heu...doucement syouplait...

On a bouclé le tour:

                                           Il manque le départ "Montevideo-

                                              -Patagonie" (défaut technique)

 

  le trajet récent étant ici

.

cliquer

 

 

24 mars

On a rejoint Montevideo, à « Punta Balena », (où l’on peut voir des baleines

pendant l’hiver austral), on a visité un arboretum, créé par un croate un peu

visionnaire qui a planté des arbres là où on lui disait que rien ne pousse.

Un siècle plus tard, il y a une vraie forêt.

Deux belvédères offrent de beaux points de vue sur Punta del este

                         le port de Punta del este, avec arrivée d'un bateau

                        de croisière

Belle promenade parmi les arbres. La visite, (gratuite de surcroît), est

une bonne alternative aux plages ;

Retour sur le littoral à Piriapolis. (ville fondée par Francesco Piria

qui y avait son manoir)

                               la maison de Francesco Piria

 

               Piriapolis, la plage

Il y a fait construire un hôtel inauguré en 1930, et pendant longtemps

le plus grand d’Amérique du sud

                     Le gars ne devait pas manquer de moyens...;

Un peu plus loin, la « réserve faunique du pain de sucre » (du

nom d’une colline proche)

Pas mal d’animaux,

                   Un chat sauvage

                             Renard gris

                        Un chouette de hibou....

                         Et bien sur des capibaras...

les fauves ayant toutefois peu de place

                     Panthère un peu triste

Après quelques mois, on est de retour au camping qui nous avait accueilli

après dépotage. Cette fois, c'est pour préparer le rempotage, car on

a renoncé à une nouvelle période sur le continent sud-américain

 

21 mars

On s’est approché de Montevideo à petite vitesse

Visite et balade dans le parc « Santa thérésa. »

Des gens font des balades à cheval,

Une ambiance de fin de saison.

 

Le parc contient pas mal d’animaux

 

                   Bien sur, des capibaras

                  Singe capucin et poule originale

            Un beau toucan

Surtout des oiseaux , certains en semi liberté, d’autres  dans les arbres, 

 

Punta del Este, est renommée pour la sculpture :

 

mais surtout caractérisée par sa plage  bordée de tours,

On l’atteint par un pont qui est né comme ça !

 

Cela n’est pas un ramollissement du au réchauffement climatique…

Plus bas sur la côte : Casa Pueblo, maison musée originale

 

Déjà vue en 2015, mais toujours sympa, et puis

on a du temps…

 

18 mars

 

Le pain : Le pain au brésil est vendu dans des « padarias ». A voir

  les panneaux au dessus des vitrines, c’est alléchant.

En réalité, on ne trouve à l’intérieur aucun des pains photographiés, 

mais seulement des pains blancs à consistance d’éponge, 

et éventuellement des pains  qualifiés

« d’intégral », mais qui ne sont que des pains au « son ajouté », 

 (comme dans pas mal de pays).

Les brésiliens ne mangent pas de pain aux repas principaux, c’est leur droit,

  mais pourquoi ces photos ?

 

Sur la route qui nous ramène en Uruguay, de beaux araucarias,

  différents de ceux du Chili

 

La faune: beaucoup d'oiseaux;

On trouve aussi des toucans sur la route : celui-ci, peut être blessé 

 a été ramassé par un automobiliste

Dernière bande de terre avant l’Uruguay : la zone est habitée par

  des capibaras, qu’on avait déjà observé en 2014:

 rongeurs de la taille d’un petit cochon

On se prépare à quitter le Brésil qui ne nous a pas emballé: à part les

 chutes de  l’Iguazu

(splendides, mais qui sont aussi en Argentine), les autres points

d’intérêt ne nous on  pas semblé transcendants, en plus de la grande

distance qui les  sépare les uns des autres.

Si on ajoute la chaleur humide qui nous transforme en stickers, et

les insectes qui  nous prennent pour un buffet libre service,

 ça fait beaucoup pour peu…

Un bel effet de coucher de soleil avant de partir

Demain, on passe "the  last border" du voyage