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4 novembre
Nous sommes arrivés à Cartagène le 1° novembre, camping dans la cour de l’hotel « bellavista », en bordure de la mer des caraïbes
pêcheurs, cormoranc et aigrettes
Première nuit : on fêtait un anniversaire dans la cour voisine :
sono alternant les rythmes « tagada-poumpoum » avec « poumpoum-tagada »
chansons façon « compagnie creole et yannick noah » dans leur mauvais jours…
enfin, ça s’arrête à 22h30.
Première visite de la ville close : c’est une jolie ville
maisons coloniales et costume
Passage à l’agence "enlace caribe" : avec un peu de chance, on partagera un container avec un véhicule argentin pour passer le vendredi 13 .
, on est ici, comme disait Fernand Raynaud « pour un bonmoment »
s’il ne confirment pas, on aura un container plus petit pour nous tout seul, mais plus cher ; Il faudra encore prendre l’avion de Cartagène à Panama
en attendant on retournera visiter quelques quartiers de la vieille ville et de la nouvelle
. Pornichet ? non cartagène
pour voir notre dernier trajet:
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31 octobre
Après le « musée Botero », avec ses personnages soufflés,
le chat
Nous avons été invité à un diner chez une hote « servas « réunion sympathique avec quelques membres
On a visité le musée de l’or et des métaux, quelques belles pièces
2 beaux objets en or
On s’est promené dans les rues et autour du palais présidentiel
la garde
L’après midi, la secrétaire nationale « servas » nous a gentiment servie de guide
sur les hauteurs de Monserrate : vue imprenable sur la ville,
Bogota vue de Monserrate
église sanctuaire récente et jolis petits édifices à structure bois
Nous sommes ensuite allés à Chia, rencontrer un autre hôte « servas », ancien professeur d’université, francophone et passionné de poèsie française.
rue de Chia
Il y a à Bogota et autour, une importante communauté connaissant le français, et francophile.
Tous ces Colombiens que nos avons rencontré ont fait preuve d’une grande hospitalité ; tous sont désolés de l’image qu’a eu le pays à un certain moment et nous ont tous dit que cette période est passée, l’ère de violence est terminée, et effectivement, on ne craint plus rien à venir, hormis quelques pickpockets comme dans beaucoup de grandes villes : faites passer
En remontant vers le nord, visite du village de Barichara,
vue du canyon de Chicamocha
Et on a goûté aux fourmis géantes grillées : come les vers et comme las grillons chinois, la bestiole n’a aucun gout ;
grillées, et prêtes à déguster
on retrouve seulement le gout de friture… intéressant en apéro, mais comme on est plutôt thé…
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25 octobre,
On a continué la route du café, en se rapprochant de Bogota,
pour le trajet des 7 derniers jours:
On s’est arrèté dans une station service ayant la wifi... une rareté ici, le pays accuse du retard, les cafés ont rarement la wifi, les magasins internet nous proposent leurs ordi ,comme il y a 10 ans au maroc
Par contre pour les péages routiers, ils sont au top : vu la position des cabines, pour peu qu’on change de n° de route après une ville on peut payer deux fois sur 25 km !!
Mais ils ont de beaux bus,
à part ça , ça roule n’importe comment, surtout les motos, très nombreuses
des plans de café, des grains, et des ramasseurs de grains en route pour le boulot
Près de la ville de Chinchina,
on a visité un jardin botanique intéressant : bambous, papillons, orchidées et colibris
E t aussi un jardin de bonzais, agés de 30 à 80 ans..
Arrivés à bogota de nuit, because route de montagne, on est allé chez un hôte servas, il nous avait dit avoir un parking, mais c'est un parking couvert 2,20m maxi...
on a donc bivouaqué dans la rue, c'est un quartier chic, calme, et sous les yeux du gardien d'immeuble (chaque immeuble en a un), qui surveille jour et nuit derrière deux grilles verrouillées
Visite de Bogota: pour aller, il faut prendre un bus rapide à voie dédiée
(comme le Helys de Saint Nazaire), sauf qu'il arrive déjà bondé, et que chaque bus ne peut embarquer que quelques passagers qui forcent...
une galère pour les usagers: solution: on monte dans un moins chargé qui va ailleurs, et on prend une correspondance plus loin! heureusement, nous on n'a pas d'horaire pour arriver
quelques vues de la ville:
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23 octobre
2 nuits au camping « sommerwind » face à la lagune, près d’Ibarra
On y trouve de beaux oiseaux et des « arbres à tomates » (lesquelles sont très acides)
puis nuit dans le parking du cimetière de Tulcan, Pour 3 dollars la nuit, on a eau et toliettes
Le cimetière est réputé pour ses topiaires en cyptès,
Passage en Colombie, à peine une heure , avec achat de l’assurance à 50m du poste de douanes ; pas d’inspection du véhicule, personne n’a vu le chat
Vue sur le site de las lajas, église placée au fond d’un canyon
Ensuite passage à Popayan, ville reconstruite après un séisme ; nuit dans un parking gardé 24/24 pour 4 euros, eau et toilettes ; c’est visiblement la première fois que les gardiens accueillent ce type de véhicule
Popayan, place centrale
On remonte vers la région du café ; sur la route passage au village de Silvia où les habitants portent encore des costumes typiques
vue de Silvia
des costumes...
Beaucoup de camions sur cette panaméricaine, mais pas seulement…
nous sommes allés jusqu'au parc du café: il s'agit d'un parc touristique qui vend des attractions, belles maisons sur la route
Village de Salento: joli, touristique, un "la gacilly' des andes
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17 octobre
Nous remontons vers la Colombie
nous ommes régulièrement à 3000m mais le paysage est celui de la montagne à vache
Joli village d’Alaussi, où fonctionne encore un petit train touristique,
une rue d Alaussi wagon historique
Visite rapide de Riobamba,
façade à Riobamba
Puis visite du marché de Saquissili, très coloré
On a traversé Quito sous la pluie, guidé, ou plutôt « balladé » par Garmin and Co…
enfin on en est sorti,
Bivouac au parking du site « la mitad del mundo » : en Français le milieu du monde, latitude 00°00,
équateur théorique
(on avait déjà connu « el fin del mondo » à Ushuaia )
Bon on n’a pas vu le soleil au zénith à midi, car depuis qu’on est en équateur on ne voit pas le soleil
Arrêt à otavalo et son marché typique,
patés de canne à sucre
têtes de cochons!
le marché au bestiaux se trouve de l’autre côté de la 4 voies, et la police interrompt la circulation pour permettre aux piétons d’y acceder, amusant…
Vendus!
on a pu goûter des vers grillés, pas mauvais, et bonne source de protéines...
bon appétit...
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