1dec

Avant de quitter le Honduras, nous avons visité les ruines de Copan, première visite d’un site Maya

cité gigantesque reprise par la végétation

Des perroquets, symboles du site, ont été relâchés, mais restent vivre près de leur lieu de naissance

Passage au Guatemala, dimanche matin, la frontière tourne au ralenti, on passe en moins d’une heure, On devait payer un droit d’entrée du véhicule, mais la banque n’a pas de courant…On laisse l’argent au douanier qui ira payer pour nous quand l’électricité sera revenue.

Au Guatemala, comme au Honduras, beaucoup de signes amicaux aux bords des routes,

La circulation  nous rappelle qu’on n’a pas trouvé à s’assurer…

les deux morceaux...

Traversée de Guatemala city par la pénétrante rapide ( ?)

                                      faubourg de guatemala ciudad

Bivouac à Antigua, ancienne capitale, dans les jardins de la police touristique, mais on ne peut utiliser ni les toilettes, ni les douches, ni le courant, contrairement à ce qu’on avait lu… suite à des abus ?

3 vues d'antigua

On est ensuite allé au bord du lac Atitlan, on devait bivouaquer dans un hotel camping que nous avaient signalé des voyageurs, mais en un an ils ont doublé leur tarif (40 euros au lieu de 20)

On a finalement trouvé un parc 24/24 en centre ville, bien moins cher, et on bénéficie de la wifi d'un hotel de luxe mitoyen

on va se diriger vers Tikal, autre lieu Maya

27 nov

On continue le Honduras, traversée rapide de Tegucigalpa, qu'on regarde au loin, une fois passé

On a choisi d'aller voir gracias, petite ville coloniale, la belle route s'arrète à 26 km d'une petite ville (esperanza) pour laisser place à une piste en cailloux, puis en boue séchée creusée d'ornières et de ravines.

Gracias est une jolie petite ville,

bivouac dans la rue, près de la police

Nous sommes ce soir chez des hôtes Servas à "la entrada de Copan", demain, nous visiterons les ruines de Copan, premier site intéressant des pays d'amérique centrale, qui, il faut bien le reconnaitre, en compte peu; on a plutôt tendance à chercher dans les guides ce qu'on pourrait bien aller voir, malgré des phrases sybillines du genre: "l'atmosphère donne envie de prolonger son séjour"

le tracé des derniers jours

cliquer ici

26 nov

traversée rapide du nicaragua : à la douane d’entrée, des dizaines de jeunes (pour la plupart) semblent camper en attente d’on ne sait quoi… il y a des douches, toilette, coin lessive, on n’a pas la réponse. Ce phénomène ne se répète pas à la sortie

                             vue sur la route

En passant , vue sur l’ile de Omotepe et ses volcans,

                              l'ile d'omotepe

Bivouac en bordure du lago Apoyo, lac volcanique

               le lac apoyo

quelques marchés:

Et c’est déjà la douane de sortie, pas très long, on nous pompe des dollars, comme à l’entrée,

pas de visite du véhicule,

on se retrouve au honduras,

                            maison de village

Premier bivouac dans une station service, certains pourraient craindre le bruit, mais la nuit a été très calme, contrairement à certains parcs, calmes en début de soirée, mais investis par des poum poum vers 22h , quand il est trop tard pour chercher autre chose

                    bivouac sympa en bonne compagnie...

                            puisqu'on vous le dit... (voir inscription)

pour éviter une frontière supplémentaire, on ne traversera pas le Salvador

23 nov

Dernière soirée au Panama à Santiago, chez des hotes "servas" qui nous ont emmené voir un film dans le cadre d'un festival panaméen: film intéressant sur la vie d'un surfeur

Nous avons passé la frontière Panama Costarica en soirée,

                    sur la route

assez rapide, sauf un camion mal garé qui empêchait de quitter la douane : le douanier nous a indiqué un chemin qui revenait dans la ville, traversait un entrepot, et débouchait de l’autre coté du camion…

avec la pénombre, personne n’a vu le chat ;

bivouac à 500 m de la douane, et au matin nous avons rencontré Guy Bazin, grand voyageur ayant déjà bourlingué dans toute l'Asie, et qui « descend » après un séjour au nord,

                                   rencontre

La Panaméenne traverse au Costarica des zones de végétation tropicale et des champ d’ananas.

  champ d ananas                                        kiosque à souvenirs

Les ananas d’ici sont très bons. A part ça, depuis le Pérou, c’est le royaume de la malbouffe :

pas un pain sans sucre et margarine, pas un jambon sans phosphate qui rend un demi verre d’eau  en ouvrant l’emballage, et que des « nectars" de fruits au sucre :

                            ingrédients d'une baguette

Petit déjeuner « américain » typique (que certains disent meilleur que celui à la française) :

Œuf frit à l’huile, toast de pain au gras et au sucre, tranche de jambon aux polyphosphates, et un grand verre de sirop de glucose aromatisé à l’orange (parfum artificiel garanti identique au naturel –sic-)

et avec ça quelquefois , un beignet de maïs transgénique…bon appétit:

Au costa rica, on a choisi de traverser par la route approchant le volcan Arenal et le lac de même nom,

   lac Arenal pendant une accalmie

route pittoresque disait le guide: pour nous ce fut dans la pluie et le brouillard,

                                                                  jolie cascade

et on se retrouve au Nicaragua: une heure et demi pour passer, malgré un "facilitateur" qui nous emmène dans les bureaux successifs pour 4 dollars de pourboire: les douaniers ont vu le chat qui les a fait bien rire, à part ça aucune question à son sujet...

Arrivée à la plage "san juan del sur"

                          un décor original...

plage tropicale classique, décor comme on trouve à l'ile Maurice, au seichelles, à Agadir, Charm el cheilk, la Baule ... ah non à la Baule, pas de chaume, ça reste en Brière... à part ça quelle originalité!

Prévoyant une nuit bruyante, on est allé dans un hotel camping au bord du lac "Nicaragua"

20 nov

deux autres vues de Panama,

et du pont des amériques, enjambant le canal

bivouac près du yatch club, lieu connu des camping caristes, on y retrouve des français qui viennent de vendre leur cc pour rentrer, et un couple hispano mexicain qui voyage avec «  chat : record battu !Ils doivent passer en Colombie ces jours ci

bivouac sur une plage du pacifique, dans un parking de restaurant, pour 10 dollars la nuit,

En chemin des lotissements pour « classe moyenne » : alignement de maisonnettes sur plusieurs rangées, entourées de barbelées et gardées jour et nuit : à partir de 135000 dollars : ça vous tente ?

A santiago, bivouac chez des servas qui nous ont emmené voir un film d'un festival de cinéma panaméen: thème: de la difficulté d'un surfeur à obtenir des sponsors,  intéressant