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Par lesblot le 23 Janvier 2019 à 19:44
23 Janvier: la carte du trajet depuis le début est visible ici (cliquez)
Deux jours à Sucre dans un petit jardin-camping:
Sucre n'a rien à voir avec le saccharose,
mais dédiée au général du même nom.
Surnommée « la ville blanche »
Les façades sont en effet blanches,
Et l’on trouve de beaux monuments
L’électricité n’a rien à envier au Vietnam
Nous montons jusqu’ au monastère de la Recoletta,
belle vue sur la ville
Aparté sur la musique de rue :
dans toute l’amérique du sud, on a fréquemment
droit à la musique : voitures poum-poum, bar,
échoppes pour touristes, semblent sacrifier à ces trois règles :
1) rythmique « tchica boum-boum-tchica boum-boum » accessible
à tout logiciel type « yamaha gratuito »
2) paroles où l’on retrouve « amor » et « coraçon » à intervalles
réguliers
2) niveau de décibels : 90 minimum ;
Servez le tout dans l’oreille, agiter, et « rouler jeunesse »…..
« El silencio es de oro »
On peut retrouver (un peu de) ce silence dans le parc « Bolivar »
il s’y trouve deux constructions rappelant la France :
un arc de triomphe, et surtout une miniature de la tour « eiffel »
construite par cette entreprise en 1906. A notre avis, Mr Eiffel
a bien du s’amuser.
On vend ici des lada niva 4 portes, jamais proposées
en France (17000 dollars US)
On est ensuite allé au "Mercado campesimo",
vaste marché qui couvre tout un quartier
stand de fruits
stand de viande
les abats et les tripes
On a pris un café dans une cafeteria "chic": on fait une essence de café
dans un petit pot, et nous ajoutons de l'eau à volonté
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Par lesblot le 21 Janvier 2019 à 21:01
21 février : marché de Tarabuco
Nous nous sommes installés à Tarabuco avant le jour de marché.
C’est un bourg, mais pas si petit…
Certains viennent au marché à pied,
Les touristes en vans
Riche marché couvert,
Il y a un marché aux bestiaux : que des bovins quand on y est allé.
Certains promènent leur vache,
d’autres attachent leur chien
Beaucoup de nourriture, à emporter
ou manger sur place,
On a trouvé des tripes et de la viande
de bœuf, très bien supportée…
Mais le plus intéressant est dans la rue
.On a été intrigué par la vente "d'alcool potable" à 95%, en litres et en bidons
de 10 litres. En fait, la culture de la coca et la consommation de feuilles
est autorisée, mais l'extraction de cocaine et la fabrication de crack est
interdite; celle ci nécessitant de l'éthanol pur, on suppose que l'alcool vendu
par bidons sert à faire des liqueurs de fruits...!!!
et pour voir notre trajet des 7 derniers jours:
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Par lesblot le 17 Janvier 2019 à 15:03
Le 3° jour nous laissons le circuit classique
remontant vers le volcan « Ollague », nous
traversons des zones d’anciennes coulées
volcaniques Vallée de la Roca, et canyon "Anaconda"
Dans les rochers, se dissimulent des Viscacha
Nous remontons à travers des champs de quinoa
Arrivée à l’hôtel de sel.
la chambre et la salle: moquette en gros sel
Le dernier jour est consacré au salar d’Uyuni ;
le soleil va sa lever sur le salar
il est recouvert d’eau, on ne peut pas atteindre l’ile centrale
En échange, des vues en miroir superbes
Et bien sûr, les classiques effets de perspective…
On termine par le cimetière de trains à vapeur d’Uyuni,
retour à Tupiza en traversant une belle vallée
.
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Par lesblot le 17 Janvier 2019 à 14:56
16 janvier : le Lipez
Nous avons renoncé à aller avec nos véhicules
dans la région du Lipez, pour 3 raisons :
Une météo incertaine
Des pistes non repérées, parfois absentes des
cartes et GPS, et pas de station service
La fatigue psychologique de centaines de
km de tôle et trous ;
On a donc opté pour un tour de 1400km, basé
sur Tupiza, 4 jours et 3 nuits. Cet article pour
les jours 1 et 2, le suivant pour 3 et 4
Nous avons rejoint le Lipez par une piste découvrant
des paysages
Oiseau et Lama, orné d’un porte-bonheur rouge
Maisons en adobe
Après un col à 4800m,
on découvre les ruines d’un
village les colons espagnols logeaient
les esclaves travaillant dans les mines
Toujours des paysages, des lagunes où
vivent des flamands roses.
nous terminons par une région volcanique aboutissant au Geyser
pour arriver à la célèbre « Laguna Colorada »
.
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Par lesblot le 10 Janvier 2019 à 16:38
9 janvier
On a quitté San Antonio pour voir le viaduc de la « Polvorilla »
une ancienne ligne de chemin de fer reliait Salta au Chili ;
Seule la partie ouest partant de Pocitos est encore ouverte
On rejoint « Tolar Grande » par la piste, car il n’y a pas de route :
tôle, trous, boue séchée se succèdent. Dire que certains préfèrent ça à
la route…heureusement, le paysage est superbe,
(mais serait tout aussi beau avec du goudron).
Tolar Grande, créé pour exploiter des mines qui ont fermé
vit maintenant du tourisme, et de nouvelles mines (or etc..)
ouvertes par des groupes internationaux
Lassés d’être secoués, on négocie un 4x4
et on se fait conduire à la « Laguna Santa Maria »,
célèbre pour ses flamands roses,
On observe une curieuse lagune où vivent encore des
bactéries qui seraient apparues il y a 3,5 milliards
d’années, et auraient, pendant un milliard d’années
transformé le gaz carbonique en oxygène : il faudrait s’incliner
devant ces bactéries, car c’est grâce à elles qu’on est là
Puis on se dirige vers le Cône de Arita, curieuse formation au milieu
d’un salar d’origine volcanique, piste pourrie, on est bien contents
de ne pas secouer nos véhicules pour ce trajet.
Départ pour San Pedro de Atacama, Chili.: bonjour la poussière!!!
On est refusé car
notre certificat de bonne santé du chat est trop ancien ;
le contrôleur est borné et ne veut rien savoir, on va shunter
l’extrême nord du Chili, direction Bolivie
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