15 janvier : depuis Chiloe

le 12 : nouveau parc : parc des alerces andino,

                                           la flore du parc

les alerces sont des arbres à croissance lente, au bois très dur et imperméable, dont certains ont plusieurs milliers d’années ; après une exploitation abusive pour les bâtiments par les colons des 2 siècles passés, ils sont protégés

Visite du parc sous la pluie, arrivée au lago, quelques alerces émergent de la brume dans un décor digne des chevaliers de la table ronde

13 janvier :  On est entrés  dans l’ile de Chiloé sous le soleil (fait assez rare), c’est heureux , car comme l’ile de Ré, elle vaut surtout par l’éclairage.

En plus de quelques jolies maisons de bois, des églises inscrites au patrimoine de l unesco pour leur technique d’assemblage

Elles rappellent celles des maramures en Roumanie, en moins élancées, les nefs ressemblant à de grands hangars

Depuis l’ile de Quinchao, on a la chance d’apercevoir les monts et volcans du continent, spectacle rare étant donné le climat habituel ici (de mauvaises langues disent qu’il pleut 170 jours par an)

Passage à Castro, le chef lieu ; on y admire les palafitos sous le soleil (maisons de bois sur pilotis)

et on y a mangé le célèbre « Curanto » : plat de moules et praires géantes avec charcuterie….

bon! des coquillages de cette taille ont forcément la consistance du caoutchouc !   si ce n’est pas mauvais, ça ne vaut pas un plat de  moules frites en Belgique

Heureusement, il reste des mets bien de chez nous;

.et toujours le lien du parcours

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