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Par lesblot le 28 Février 2020 à 12:07
De Kandy, on a pris le train pour Nuwara Eliya.
Le train traverse des paysages superbes de terrasses et collines couvertes
de théiers.
La vitesse est de 30 km/ h environ, c’est donc très décontracté
On voit les cueilleuses de thé dans les champs
Nuwara Eliya est classée par les guides comme une ville
ayant gardé un caractère anglais. En fait à part les parcs et golf
Ce sont les grandes maisons, transformées en hotel
où la nuit coûte un salaire Sri Lankais,
Le cœur du village, lui, est bien local.
Toutefois, si vous voulez investir, on refait des pavillons british
Puis on a visité une fabrique de thé.C’est une entreprise
qui respecte une charte ( 8 h maxi, pas de travail d’enfant
etc... mais le travail est dur quand même
On a repris le train pour Haputhale, toujours les mêmes paysages
Question nourriture, on a trouvé de la vache qui rit
locale, (importé d’Autriche)
En bas, un « Hopper », crêpe en forme de bol, parfois garnie
d’oeuf, très bon et non épicée. A droite, les outils pour faire
un kuttu rotti
Nouvelle guesthouse, escalier en sac de terre
(garanti provisoire!)
Mais une vue superbe, sauf en cas de brume, fréquente,
ce qui devait plaire aux Anglais
Lycéens en attente de bus
Le bus aux particules fines
Pourquoi les bus et les autres doivent faire attention
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Par lesblot le 24 Février 2020 à 09:34
Nous sommes arrivés à Kandy en empruntant deux bus. Ils roulent comme
des fous... Une touriste canadienne qu’on avait rencontrée à Polonnaruwa
et qui avait pris le même bus la veille s’est trouvée éjectée de sa place ...
fracture d’une vertèbre. On l’a revue à Kandy avant son rapatriement. Elle
s’en tire avec obligation de corset mais sans séquelle, elle aurait pu finir
paraplégique...
Donc on prend le train chaque fois qu’on peut.
Notre chambre est au 2ème étage avec une vue époustouflante
Elle est aussi près d’un monastère, de 5 h à 6 h du matin, les moines
récitent des mantras, c’est leur droit, mais une diffusion par haut-parleurs
à fond ne s’imposerait pas, c’est un manque de respect des autres,
mais le respect des autres n’est pas le fort des religions majoritaires
A part ça, Kandy est une vraie ville avec marché et super marché
et des gens dans les rues, autres que les touristes et ceux qui les attendent
Et des tuc tuc en pagaille, qui veulent nous emmener partout et nous
interpellent sans arrêt
Remarque: c’est un peu comme au Maroc: si un Srilankai nous
aborde pour nous demander d’où on vient et si on aime le pays
c’est qu’il a quelque chose à nous vendre. Les autres se contentent
de nous faire des saluts amicaux, et c’est aussi bien car au moins
c’est sincère.
Nous avons fait le tour du lac
On a laissé les temples, assez communs d’extérieur, et dont l’intérieur
contient surtout des bouddhas. Les ruines du Sri Lanka sont
intéressantes pour les spécialistes, pour nous décevantes
On préfère la flore et la faune, dont des arbres gigantesques
Ici, au jardin botanique, très agréable
Des chauves souris suspensues
un bassin aux tortues
Quelques beaux spécimens d’oiseaux
Également près du lac, la piscine de la reine, devenue
mare au canards
On est allé à un spectacle de danses Sri Lankaises au son
de tambours
La nourriture: on a beaucoup de mal à obtenir du « no spicy »
il en reste toujours un petit peu. Mais quand c’est vraiment non épicé
alors c’est fade, on vend beaucoup d’épices, mais à part le poivre
et le piment, on se demandent si elles servent. De même, les
marchés présentent beaucoup de légumes, mais quand on
commande un « rice végétable », on obtient une demi soupière
de riz, mélangé à une cuillère à soupe de légumes ciselés, bizarre
On trouve cependant à Kandy des cafétérias servant cappuccino
expressos, latte macchiato, etc....
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Par lesblot le 21 Février 2020 à 15:15
On a continué par le site de Polonnaruwa, deuxième place du « triangle
culturel », même chose que le premier. Ce qu’on peut voir des sites en
libre accès ne nous incite pas à payer 25 dollars par personne pour visiter
les autres. Les entrées pour les étrangers sont surévaluées.
ce qui reste de la bibliothèque
Par contre la région offre de beau lieux de promenades
Au détour d’un chemin un beau templeOn a aussi l’occasion de rencontrer des animaux originaux
Les singes sont rapides à voler de la nourriture, alors
les vendeurs s’équipent
Celui-là, très rare (variété de chat sauvage à
pelage de léopard) on ne le verra que mort, tué sans
doute par une voiture la nuit
Arrivés à Sigiriya, on a observé le fameux rocher
Moins impressionnant que les météores grécques, mais
c’est tout ce qu’ils ont ici. Il faudrait donc débourser 30 dollars
pour grimper dessus.
A Proximité, des éléphants, qui promènent les touristes.
Ici aussi, on se met au tri des déchets, avec des bacs originaux
La bourgade de Sigirîya se limite à un carrefour où s’alignentquelques restaurants et des boutiques
Les guesthouses se répartissent dans la campagne, de sorte qu’il
faut être courageux pour aller « manger en ville » Les
hébergements en profitent pour proposer des dîners au double du
prix. Et surtout on se retrouve avec du « rice curry » tous les soirs
On a préféré marcher un peu et varier
salade de fruits maison, Kothu rôti, et shawarma frites pour changer
Et un peu de relaxation....
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Par lesblot le 16 Février 2020 à 11:37
Notre avion était bien un « low-cost« . Le site de réservation google disait
qu’on avait droit à un bagage en soute, mais n’avait pas entériné que cette
possibilité avait cessé en août. On a dû payer 90 euros.
On a eu droit à l’entrée « à l’ancienne » dans l’avion
On a rejoint Kalpitiya, sur la côte.
On a pris le train puis le busLes bus ne sont pas climatisés, mais sonorisés : une musique sur
des rythmes que l’on dirait « Libano-syriens » plutôt qu’indien
Premiére surprise:
sont nommées Guest house des locations dans des
maisons inoccupées, elles ne sont pas là où booking les localisent
car les proprio indiquent leur adresse, même les tuc-tuc ont du
mal à trouver. Comme elles sont inoccupées, ça sent le renfermé .
et la naphtaline. On voit le propriétaire pour entrer, pour payer, et« basta ».On avait envisagé de voir les bans de dauphins au large
Il faudrait être 6 pour louer un bateau à prix raisonnable, pas d’effort
pour suggérer de chercher d’autres touristes: il garde ses dauphins,
et on garde nos 100 dollars...
On a profité du bord de mer
Le poisson ramassé est mis à sécher
On a ensuite rejoint Aruradhapura, pas très facile d’obtenir les
horaires des bus, car ils ne sont pas affichés, il faut lire sur l’avant
des bus qui attendent. Mais quand ils ne sont pas là, il faut demander
Comme un homme sur deux est conducteur de tuc-tuc, on a une
chance sur deux de s’entendre répondre : le bus n’est pas bien,
il s’arrête partout, moi je vous emmène à un taxi confortable:
et il nous propose à 20 euros la destination que le bus rejoint
pour 1 € 50 ! Enfin, on s’habitue.
La Guest house d’Anuradhapura est sympa, mais loin de tout,
du coup, on doit y prendre les diners, qui, bien que bon
marché pour nous, ( 3 € 25) sont vendus le double de ce qu’on trouve
en ville...
C’est un endroit super pour le farniente, parce que, sinon
ce n’est pas pour les lève - tôt, le petit dej n’est pas prêt
avant 8 h 30, et encore...
On s’est promené dans la nature environnante
Un beau coucher de soleil dans les arbres
Puis on a loué des vélos pour faire un tour du site
A part la transmission à courroie crantée, originale, ils sont un
peu pourris
Mais on a vu quelques animaux, en panneaux ou réels
Egalement un petit tour des temples
Vus de loin, 25 euros par personne pour s’approcher,
les routes d’accès sont contrôlées, vu le nombre de gardiens,
l’ensembles des billets ne doit pas payer leur salaire...
Bon, on est plus amusé par les animaux dans les arbres ou au
sol ( la plupart trop agile pour qu’on les photographie )
.
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Par lesblot le 11 Février 2020 à 09:32
On est resté deux jours à Bangkok avant le départ pour le Sri Lanka
Promenade jusqu’à la « montagne dorée » d’où l’on a une belle vue sur la
ville
Retour par la « grande balançoire« d’où les moines
ne se balancent plus depuis les années 20, suite à
des chutes mortelles
Retour par les quartiers chinois et indiens, des étals et
des tissus, beaucoup de tailleurs proposent du sur-mesure
Et comme il se doit, riz et canard rôti
Notre Guest House est près d’un canal ,
Bangkok avait été surnommée « Venise de l’orient »
au 19eme siècle, depuis la plupart des canaux ont été
bouchés ou couverts pour construire.
Mais quand on voit la couleur et l’odeur de ceux qui
restent, ce n’est peut-être pas plus mal
On à pris le bateau-bus pour remonter le fleuve
Cela donne de belles vues sur les berges
On admire également la circulation des bateaux
Toujours de grandes barges porteuses de riz
Demain , départ pour le Sri Lanka.La compagnie
qu’on a choisie n’est pas la Thai-air, mais une filiale
« low-cost », on n’avait pas remarqué, mais on verra bien....
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