• De Kandy, on a pris le train pour Nuwara Eliya.

    Le train traverse des paysages superbes de terrasses et collines couvertes

    de théiers.

     

    Haputhale

    La vitesse est de 30 km/ h environ, c’est donc très décontracté 

    Haputhale

    On voit les cueilleuses de thé dans les champs

    Haputhale

    Nuwara Eliya est classée par les guides comme une ville 

    ayant gardé un caractère anglais. En fait à part les parcs et golf

    Haputhale

    Ce sont les grandes maisons, transformées en hotel

    où la nuit coûte un salaire Sri Lankais, 

    Haputhale

    Le cœur du village, lui, est bien local.

    Haputhale

    Toutefois, si vous voulez investir, on refait des pavillons british 

    Puis on a visité une fabrique de thé.C’est une entreprise 

    qui respecte une charte ( 8 h maxi, pas de travail d’enfant

    etc... mais le travail est dur quand même 

    Haputhale

    On a repris le train pour Haputhale, toujours les mêmes paysages

    Haputhale

    Question nourriture, on a trouvé de la vache qui rit

    locale, (importé d’Autriche)

    Haputhale

    En bas, un « Hopper », crêpe en forme de bol, parfois garnie 

    d’oeuf, très bon et non épicée. A droite, les outils pour faire

    un kuttu rotti 

    Nouvelle guesthouse, escalier en sac de terre 

    (garanti provisoire!)

    Haputhale

     

    Mais une vue superbe, sauf en cas de brume, fréquente,

    ce qui devait plaire aux Anglais

    Haputhale

    Lycéens en attente de bus

    Haputhale

    Le bus aux particules fines

    Haputhale

    Pourquoi les bus et les autres doivent faire attention 

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  • Nous sommes arrivés à Kandy en empruntant deux bus. Ils roulent comme

    des fous... Une touriste canadienne qu’on avait rencontrée à Polonnaruwa 

    et qui avait pris le même bus la veille s’est trouvée éjectée de sa place ...

    fracture d’une vertèbre. On l’a revue à Kandy avant son rapatriement. Elle

    s’en tire avec obligation de corset mais sans séquelle, elle aurait pu finir 

    paraplégique...

    Donc on prend le train chaque fois qu’on peut.

    Notre chambre est au 2ème étage avec une vue époustouflante 

     

     

     

     

    Kandy

        Elle est aussi près d’un monastère, de 5 h à 6 h du matin, les moines

    récitent des mantras, c’est leur droit, mais une diffusion par haut-parleurs

    à fond ne s’imposerait pas, c’est un manque de respect des autres,

    mais le respect des autres n’est pas le fort des religions majoritaires

    A part ça, Kandy est une vraie ville avec marché et super marché 

     

    Kandy

     

    et des gens dans les rues, autres que les touristes et ceux qui les attendent 

    Et des tuc tuc en pagaille, qui veulent nous emmener partout et nous 

    interpellent sans arrêt 

    Kandy

    Remarque: c’est un peu comme au Maroc: si un Srilankai nous

    aborde pour nous demander d’où on vient et si on aime le pays

    c’est qu’il a quelque chose à nous vendre. Les autres se contentent 

    de nous faire des saluts amicaux, et c’est aussi bien car au moins

    c’est sincère.

    Nous avons fait le tour du lac

    Kandy

     

    Kandy

    On a laissé les temples, assez communs d’extérieur, et dont l’intérieur 

    contient surtout des bouddhas. Les ruines du Sri Lanka sont 

    intéressantes pour les spécialistes, pour nous décevantes 

    On préfère la flore et la faune, dont des arbres gigantesques 

    Kandy

    Ici, au jardin botanique, très agréable 

    Kandy

    Kandy

    Kandy

     

    Kandy

    Des chauves souris suspensues 

    un bassin aux tortues 

    Kandy

     

    Quelques beaux spécimens d’oiseaux

     

    Kandy

     

    Kandy

     

     Également près du lac, la piscine de la reine, devenue

    mare au canards

    Kandy

     

     

     

    On est allé à un spectacle de danses Sri Lankaises au son

    de tambours 

    Kandy

    La nourriture: on a beaucoup de mal à obtenir du « no spicy »

    il en reste toujours un petit peu. Mais quand c’est vraiment non épicé 

    alors c’est fade, on vend beaucoup d’épices, mais à part le poivre

    et le piment, on se demandent si elles servent. De même, les 

    marchés présentent beaucoup de légumes, mais quand on 

    commande un « rice végétable », on obtient une demi soupière 

    de riz, mélangé à une cuillère à soupe de légumes ciselés, bizarre

    On trouve cependant à Kandy des cafétérias servant cappuccino 

    expressos, latte macchiato, etc.... 

    Kandy

     

     

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  • On a continué par le site de Polonnaruwa, deuxième place du « triangle 

    culturel », même chose que le premier. Ce qu’on peut voir des sites en

    libre accès ne nous incite pas à payer 25 dollars par personne pour visiter

    les autres. Les entrées pour les étrangers sont surévaluées.

    Jusqu’à Sigiriya

    ce qui reste de la bibliothèque 

    Par contre la région offre de beau lieux de promenades

    Jusqu’à Sigiriya

    Jusqu’à Sigiriya

    Jusqu’à Sigiriya

     


    Au détour d’un chemin un beau temple

    Jusqu’à Sigiriya

    On a aussi l’occasion de rencontrer des animaux originaux

    Jusqu’à Sigiriya

    Les singes sont rapides à voler de la nourriture, alors

    les vendeurs s’équipent 

     

     

    Jusqu’à Sigiriya

    Jusqu’à Sigiriya

    Jusqu’à Sigiriya

    Celui-là, très rare (variété de chat sauvage à 

    pelage de léopard) on ne le verra que mort, tué sans

    doute par une voiture la nuit

     



    Arrivés à Sigiriya, on a observé le fameux rocher

     

    Jusqu’à Sigiriya

    Moins impressionnant que les météores grécques, mais

    c’est tout ce qu’ils ont ici. Il faudrait donc débourser 30 dollars 

    pour grimper dessus.

    A Proximité, des éléphants, qui promènent les touristes.

    Jusqu’à Sigiriya

    Jusqu’à Sigiriya

     

     

     


    Ici aussi, on se met au tri des déchets, avec des bacs originaux

    Jusqu’à Sigiriya


    La bourgade de Sigirîya se limite à un carrefour où s’alignent

    quelques restaurants et des boutiques

    Les guesthouses se répartissent dans la campagne, de sorte qu’il 

    faut être courageux pour aller « manger en ville » Les

    hébergements en profitent pour  proposer des dîners au double du

    prix. Et surtout on se retrouve avec du « rice curry » tous les soirs

    On a préféré marcher un peu et varier

    Jusqu’à Sigiriya

    salade de fruits maison, Kothu rôti, et shawarma frites pour changer

    Jusqu’à Sigiriya

    Et un peu de relaxation....

     

     

     

     

     

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  • Notre avion était bien un « low-cost« . Le site de réservation google disait

    qu’on avait droit à un bagage en soute, mais n’avait pas entériné que cette

    possibilité avait cessé en août. On a dû payer 90 euros.

    On a eu droit à l’entrée « à l’ancienne » dans l’avion

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    On a rejoint Kalpitiya, sur la côte.
    On a pris le train puis le bus

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    Les bus ne sont pas climatisés, mais sonorisés : une musique sur

    des rythmes que l’on dirait « Libano-syriens » plutôt qu’indien

    Premiére surprise:

    sont nommées Guest house des locations dans des 

    maisons inoccupées, elles ne sont pas là où booking les localisent

    car les proprio indiquent leur adresse, même les tuc-tuc ont du

    mal à trouver. Comme elles sont inoccupées, ça sent le renfermé .
    et la naphtaline. On voit le propriétaire pour entrer, pour payer, et

    « basta ».On avait envisagé de voir les bans de dauphins au large

    Il faudrait être 6 pour louer un bateau à prix raisonnable, pas d’effort 

    pour suggérer de chercher d’autres touristes: il garde ses dauphins,

    et on garde nos 100 dollars...

    On a profité du bord de mer

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    Le poisson ramassé est mis à sécher 

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    On a ensuite rejoint Aruradhapura, pas très facile d’obtenir les

    horaires des bus, car ils ne sont pas affichés, il faut lire sur l’avant

    des bus qui attendent. Mais quand ils ne sont pas là, il faut demander

    Comme un homme sur deux est conducteur de tuc-tuc, on a une

    chance sur deux de s’entendre répondre : le bus n’est pas bien, 

    il s’arrête partout, moi je vous emmène à un taxi confortable:

    et il nous propose à 20 euros la destination que le bus rejoint

    pour 1 € 50 !  Enfin, on s’habitue.

    La Guest house d’Anuradhapura est sympa, mais loin de tout,

    du coup, on doit y prendre les diners, qui, bien que bon

    marché pour nous, ( 3 € 25) sont vendus le double de ce qu’on trouve

    en ville...

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    C’est un endroit super pour le farniente, parce que, sinon

    ce n’est pas pour les lève - tôt, le petit dej n’est pas prêt 

    avant 8 h 30, et encore...

    On s’est promené dans la nature environnante

    Premiers jours au Sri Lanka

    Un beau coucher de soleil dans les arbres

    Premiers jours au Sri Lanka

     

     

    Premiers jours au Sri Lanka

    Puis on a loué des vélos pour faire un tour du site

    A part la transmission à courroie crantée, originale, ils sont un

    peu pourris

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    Mais on a vu quelques animaux, en panneaux ou réels

     

    Egalement un petit tour des temples

    Premiers jours au Sri Lanka

     

    Premiers jours au Sri Lanka

    Vus de loin,  25 euros par personne pour s’approcher, 

    les routes d’accès sont contrôlées, vu le nombre de gardiens,

    l’ensembles des billets ne doit pas payer leur salaire...

    Premiers jours au Sri Lanka

    Bon, on est plus amusé par les animaux dans les arbres ou au

    sol ( la plupart trop agile pour qu’on les photographie )

    Premiers jours au Sri Lanka

    .

     

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  • On est resté deux jours à Bangkok avant le départ pour le Sri Lanka 

    Promenade jusqu’à la « montagne dorée » d’où l’on  a une belle vue sur la

    ville

    Bangkok avant l’envol



    Bangkok avant l’envol

     

    Retour par la « grande balançoire«  d’où les moines

    ne se balancent plus depuis les années 20, suite à 

    des chutes mortelles 

    Bangkok avant l’envol

     

    Retour par les quartiers chinois et indiens, des étals et

    des tissus, beaucoup de tailleurs proposent du sur-mesure

    Bangkok avant l’envol

    Et comme il se doit, riz et canard rôti 

     

    Bangkok avant l’envol

     

    Notre Guest House est près d’un canal ,

     

    Bangkok avant l’envol

     

    Bangkok avait été surnommée « Venise de l’orient »

    au 19eme siècle, depuis la plupart des canaux ont été

    bouchés ou couverts pour construire.

    Mais quand on voit la couleur et l’odeur de ceux qui

    restent, ce n’est peut-être pas plus mal

    Bangkok avant l’envol

    On à pris le bateau-bus pour remonter le fleuve

    Cela donne de belles vues sur les berges

     

    Bangkok avant l’envol

    On admire également la circulation des bateaux 

    Bangkok avant l’envol

    Toujours de grandes barges porteuses de riz

    Bangkok avant l’envol

    Demain , départ pour le Sri Lanka.La compagnie

    qu’on a choisie n’est pas la Thai-air, mais une filiale 

    « low-cost », on n’avait pas remarqué, mais on verra bien....

     

     

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