Mardi 23 Jour du vol

Le fait d’être accompagné d’un animal entraîne

 quelques complications. En effet quand on

déclare un animal en cabine en prenant son

Billet, la compagnie nous fournit une page entière

de recommandations, mais ne précise pas :

1/ : que l’enregistrement en ligne sera impossible

 (eux même nous enverrons un texto pour nous

rappeler qu’on ne l’a pas fait !)

2/ : qu’il y a des conditions sur l’attribution des

places en cabine pour les personnes accompagnées

d’animal ; les places qu’on avait payées avaient

donc été modifiées, il a fallu une demi heure pour

résoudre le problème dans un avion complet

3/ : qu’en cas de correspondance, la loi canadienne

impose que les passagers accompagnés d’animaux

retirent leur bagage de soute pour un contrôle

douanier, puis les réenregistrent. L’escale n’étant

que de 1h30, on a pu prendre la correspondance

mais nos bagages furent placés dans l’avion

suivant et restitués le lendemain. Bravo pour

la clarté des consignes !

                 chargement des bagages (mais pas les nôtres)

 Mercredi 24 : récupération du véhicule. On rejoint le port

Dans une « Porsche Cayenne » de location

Cette fois, aucun problème, en 2h le véhicule,

intact, était hors du port. On croyait avoir réservé

le BnB pour 2 nuits, mais, à cause d’un bug, on

a du quitter : courses, gazole et bivouac au Wallmart

                    Voiture VIP

Jeudi 25.

Début du tourisme : visite du joli port de

Peggy’s  Cove,

Puis de la ville de Lunenburg, d’inspiration

allemande  

Vendredi 27.

Deux découvertes intéressantes :

le chauffage gazole ne démarre pas, et

la plaque de cuisson est en panne…

On commence par acheter un réchaud gaz

On verra le circuit chauffage plus tard, pourtant

7° le matin c est peu

(« mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver »

Gilles Vignaud)

On suit une belle route côtière

                 Beau mais frisquet

Samedi 28 : en route vers Montréal

Enfin le soleil et une montée de la température.

A un carrefour, on tombe sur un magasin

vendant des homards, vivants ou cuits

(c’est la région) , donc on en profite

Déjeuner sur une jolie plage

.

On continue vers Quebec, on a choisi une petite route pour voir la forêt

de plus près, et moins de voitures; cela permet de constater, aussi

qu'il n'y a pas qu'en France que le goudron du réseau secondaire

est pourri