27 mai

On a passé la frontière grecque le 24, Y a pas à dire, en retrouvant l’euro et le drapeau étoilé, on a déjà l’impression de rentrer "　chez nous　"

En attente du bateau 

 qui nous ramène à Ancone, on retrouve Platania, où l’on bivouaque à chaque voyage en Grèce, c’est un port agréable et on y tolère les camping cars

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23 mai 2014
Nous avons fait un crochet par quelques villes intérieures
Tokat

et Amasya

La montagne est par endroits couverte de rhododendrons  jaunes

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on se dirige vers la Grèce, sans avoir compris comment payer les autoroutes turques, on déclenche donc la sirène en sortant, ce qui n'a pas eu, jusqu'ici de conséquence facheuse

18 mai, Batumi

A partir du 13, nous avons poursuivi notre visite de l’Arménie,

Les villes sont particulièrement laides, malgré le parement appliqué sur la façade coté rue (et sur celle là seulement) en pierre du pays, les immeubles sont triste, les rues défoncées, les trottoirs boueux, seul le paysage naturel et beau

On a vu un ancien caravanserail en pierres　;

Un cimetière où sont regroupées des croix sculptées, spécialité arménienne,

Puis deux monastères　: hayrivank, près du lac de sevan qu’on a longé

Enfin haghardzine

Si les monastères d’Arménie se ressemblent tous un peu , pour qui n’est pas spécialiste en bas relief, ils sont tous situés dans des endroits superbes, ce qui donne un point de vue exceptionnel (comme c’est aussi le cas en Géorgie)

Le 14 au matin, visite sous la pluie, l’orage dure, ce qui permet de vérifier la phrase précédente　: sans soleil, avec un panorama plus triste, les églises perdent une grande partie de leur intérêt pour un non spécialiste

Mais le soleil est revenu pour les suivants

Une fois n’est pas coutume, un temple romain au lieu d une église

Puis une dernière ancienne

Les arméniens sont fan de pique-nique, et on rencontre des lieux aménagés tout au long des routes

Arrivée à Erevan, seule ville qui tire son épingle du jeu au point de vue esthétique

On est sortie vers la Géorgie, encore 30 euros de taxes pour sortir, décidément, l’Arménie, il faut avoir envie d’y venir,

On est passé par le site de vardzia, qu’on avait laissé en octobre, faute de temps, une falaise troglodyte truffée de trous, mais surtout une superbe vallée pour y aller

pour finir, retour à Mestia, on voulait aller jusqu’à usguli, ville devenu "　site unesco　", mais après 6 km, la route , inachevée se continue en piste de montagne, on a abandonné après avoir estimé le temps necessaire pour un aller retour

Après une nuit au parking de la police de Polti, où l'aide de la batterie s'une voiture de police a été nécessaired pour démarrer, la notre étant à plat, on a rejoint Batumi, on se prépare à entrer en turquie

13 mai
on poursuit l’Arménie, en visitant les sites sur la route de remontée :

la cité troglodyte de Goris,

le monastère de Tatev,

les mégalithes de Zohratskar,

et le monastère de Noravank,

Il fait beau le matin, chaud à midi, et orageux en fin de journée,

très beaux paysages, mais les villes sont tristes, comme les gens, nous semble t  il,

Alors qu'en Iran le parc automobile compte beaucoup de voitures moyennes et familiales, mais peu de gros 4x4, ici, à part les vieilles voitures soviétiques, on voit des mercedes aux vitres fumées,conduites par de jeunes qui n'ont pas économisé le prix par une vie de travail!

Nous voici en Arménie, cela ressemble aux ex pays urss: hlm décrépis,  sites industriels a l abandon, batiments administratifs semi délaissé,

l activité qui repart semble le commerce indépendant

par contre, les paysages de montagne sont superbes.

Après  réflexion, on a pris une assurance, 12 euros pour 10 jours et assurer la tranquilité

les photos d hier:

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